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Bienvenue sur le blog du collectif des communistes du Canton de la Presqu'île

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 16:29

dessin-ecole-publiqueLe Sénat a adopté en première lecture dans la nuit de vendredi à samedi le projet de loi de refondation de l'Ecole.Le texte a été adopté par 176 voix contre 171. L'opposition UMP, UDI-UC a voté contre tandis que PS, groupe communiste, RDSE (à majorité radicaux de gauche) et Écologistes ont voté pour. C'est l'un des rares textes du gouvernement a avoir été approuvé par le Sénat sans l'apport de voix de droite. La partie était pourtant loin d'être jouée, les sénateurs communistes dont les 20 voix sont indispensables à une majorité de gauche ne jugeant pas le projet à la hauteur de l'ambition.

Les sénatrices et sénateurs de notre groupe avaient réservé leur vote sur ce texte à la prise en compte de leurs propositions adoptées en commission et aux avancées qui pouvaient être gagnées en séance publique.

En effet, le gouvernement avait déposé des amendements qui les remettaient totalement en cause. Finalement il les a retirés.

Le combat des sénateurs communistes pour privilégier une coopération Etat-région sur la carte des formations professionnelles initiales trouve un début de réponse. Ainsi cette carte ne sera pas déterminée par la région seule, mais après accord du Recteur. Ils ont aussi obtenu le retrait des deux amendements du gouvernement issus du projet de loi de décentralisation, confiant à la Région la définition et la mise en œuvre du service public de l’orientation tout au long de la vie.

Sur le socle commun : confirmation que « le socle doit permettre la poursuite d’études, la construction d’un avenir personnel et professionnel » et suppression de la référence aux compétences-clés européennes. Ces disposions créent une première brèche dans la conception utilitariste et minimaliste du socle.

Les propositions communistes sur les Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation (ESPE) ont été votées : il est prévu qu’elles organisent et assurent les actions de formation initiale des étudiants se destinant aux métiers du professorat et de l’éducation. De même, elles devront « préparer les enseignants aux enjeux de l’entrée dans les apprentissages et à la prise en compte de la difficulté scolaire dans le contenu des enseignements et la démarche d’apprentissage ».

Le vote en faveur de ce texte au Sénat va permettre la poursuite du travail parlementaire dès le 3 juin à l’Assemblée nationale. Le texte reviendra ensuite au Sénat.

Députés et sénateurs communistes  agiront jusqu’au bout pour que ce projet de loi soit encore amélioré.

 

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 15:59

prenez le pouvoir banquesContre la finance et l'austérité, pour une 6e République

Le 2 juin à Bordeaux

Rassemblement à 11h30 devant le Grand Théâtre à Bordeaux

12h Cri du peuple

12h30 Marche citoyenne jusqu'au miroir d'eau et pique-nique citoyen

Marche rebelle, marche de colère, marche de solutions et de constructions d’alternatives face à l’arrogance des marchés financiers et du patronat et aux insuffisances économiques et sociales du gouvernement.

 

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27 mai 2013 1 27 /05 /mai /2013 15:43

moscoparisot

Encore  un engagement de campagne qui passe à la trappe. C’était la proposition 3.1.2 du programme du Parti socialiste .

Plusieurs fois été annoncé mais toujours reporté, le projet de loi visant à encadrer et à limiter les écarts excessifs de rémunérations des patrons n'est plus. C'est Pierre Moscovici qui a prononcé son éloge funèbre, le vendredi 24 mai. Quel beau cadeau de départ pour Laurence Parisot qui quittera ainsi ses fonctions de présidente du Medef sur un triomphe et quel camouflet pour la gauche.

De renoncement en renoncement, l'abandon de la limitation des hauts salaires patronaux est un double scandale. Il est d'abord un coup porté contre la justice sociale au moment où l'austérité s'applique implacablement sur les salariés, chômeurs et retraités. Il est ensuite un crime contre l'économie réelle car ces surplus indécents iront nourrir la bulle spéculative des marchés financiers, responsable de la crise actuelle.

Ce gouvernement trahit une fois encore sa propre parole. Cette volte-face est une nouvelle fuite en avant qu’il faut dénoncer et combattre. Vite, un changement de cap.

 

 

   

Revenus annuels en milliers d'euros

En nombre d'années de Smic

Maurice Lévy

Publicis

19 600

1 491

Carlos Ghosn

Renault

13 300

1 012

Bernard Charlès

Dassault Systèmes

10 900

829

Bernard Arnault

LVMH

10 800

821

Jean-Paul Agon

L'Oréal

7 700

586

Christopher Viehbacher

Sanofi-Aventis

7 100

540

Franck Riboud

Danone

6 100

464

Daniel Julien

Téléperformance

5 600

426

Denis Kessier

SCOR

5 500

418

Olivier Piou

GEMALTO

5 500

418

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 21:16

¨ Se préparer à défendre le budget de la commune contre la volonté de l’état de poursuivre la réduction de la dotation globale de fonctionnement des collectivités territoriales

La croissance qui était un des thèmes de campagne de Hollande  a disparu du vocabulaire. Tout est devenu rigueur et baisse du coût du travail. L’orientation austéritaire du gouvernement va aggraver la situation économique, notamment au travers de la baisse du pouvoir d’achat des familles, de la réduction des investissements publics et des plans de charge des entreprises. Depuis 2010, les dotations gouvernementales aux communes ont baissé sur décision du gouvernement Sarkozy. C’est ainsi que pour Carbon-Blanc, la dotation est successivement devenue :

 967 000 en 2009, 956 000 en 2010, 935 000 en 2011 et 914 000 en  2012

 

 Pour 2013, Sarkozy n’est plus là, mais ça baisse encore, à 896 000.  Les dotations de l’Etat sont en baisse constante et non pas stables comme l’indique le Carbon-blanc Magazine n°127 dans sa page 7.

Ce qui était néfaste et combattu par la gauche sous Sarkozy ne devient pas bon et acceptable sous Hollande !

En 2013, avec le gouvernement socialiste, non seulement, les transferts de charge ne seront pas davantage compensés mais ils seront accentués (ex : rythmes scolaires). La dotation de l’Etat est toujours gelée et sa baisse s’annonce  plus forte en 2014 et 2015.

Les communistes ne sont pas porteurs d’une telle orientation nationale qui prive les communes des ressources nécessaires à la solidarité et au lien social de proximité.

       A Carbon-Blanc, comme dans toutes les communes, l’action locale de toutes les forces sociales doit s’organiser contre la baisse de leurs ressources, imposée par l’Etat.

banderolle commune copie

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 21:14

¨ Refuser de payer les dettes illégitimes

Qui paye ses dettes s’enrichit. On nous fait bien avaler n’importe quoi. Aujourd’hui, qui rembourse la dette publique s’appauvrit, pour enrichir les marchés financiers, les banquiers et autres spéculateurs de la planète.

La dette repose sur un mensonge : elle n’est pas le résultat d’un excès de dépenses publiques, mais de la baisse organisée des recettes fiscales consentie aux plus fortunés et aux grandes entreprises.

En empruntant sur les marchés financiers pour combler ce manque de recettes, les États aggravent leur dette, majorée des intérêts. Cette dette est donc largement illégitime.

En nous faisant payer la crise financière, les gouvernements  enfoncent les pays dans la récession.

Les communistes ont des propositions :

image résisterÞ Renégocier la dette légitime et les taux en attribuant ce rôle à la Banque centrale européenne. Jusqu’en 1974, pour financer son activité, l’Etat français pouvait emprunter à taux zéro à la Banque de France. Aujourd’hui, la BCE prête aux banques à 1 % qui prêtent aux Etats à des taux plus élevés et excessifs.

 Þ Contester la dette si elle s’avère illégitime. L’Etat français a le pouvoir de décider d’un audit permettant de chiffrer la part de la dette illégitime contractée entre 2007 et 2012 par le gouvernement Sarkozy. Une fois décelée et chiffrée, cette part doit être annulée.

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 21:12

   ¨ Prendre des mesures radicales contre la fraude et l’évasion fiscale

     et éradiquer les paradis fiscaux

          Les électeurs de gauche qui croyaient avoir voté pour un gouvernement  qui allait s’en prendre à « son véritable adversaire, le monde de la finance » en sont pour leur frais. Ils se sont retrouvés avec un ministre socialiste chargé du budget de la France qui pratiquait l’évasion des capitaux et la fraude fiscale. Le choc Cahuzac met au grand jour cet insupportable fossé : sacrifices et austérité pour les uns, paradis fiscaux pour les autres.

          La position des communistes est claire et tranchée : il est urgent et ultra-prioritaire de s’attaquer avec courage et fermeté à la fraude fiscale et à l’évasion fiscale avec des actes forts et tout de suite. La vie publique doit être assainie. Les conflits d’intérêts entre les pouvoirs politiques et les puissances d’argent doivent être éradiqués. L’évasion et la fraude fiscale doivent être combattues avec des moyens renforcés.

          Le fric qui manque sur la feuille de paye, à notre sécurité sociale, à nos caisses de retraite, aux budgets de nos communes, il est là, au chaud, entre les mains de quelques-uns, dans les îles, dans les coffres de l’Union des Banques Suisses . Nous le savions. Les communistes combattent, souvent seul, trop souvent seul, cette réalité de classe. Ca va durer combien de temps ?     

finances          La fraude et l’évasion fiscales privent les Etats de milliards d’euros.

          Au niveau mondial, 16 000 milliards € circulent dans les paradis fiscaux. Ils sont détournés de l’économie réelle et placés sur les marchés financiers. Ils produisent des milliards d’intérêts qui échappent à leur tour à la fiscalité. Ca va durer encore longtemps ?

          Pour la France, cela se chiffre entre 40 et 50 milliards d’euros par an. Pour l’Europe, c’est la bagatelle de 1000 milliards. Il y a là de quoi résorber les déficits et les dettes légitimes, en quelques années, sans passer par la case Austérité pour les peuples.

          Les paradis fiscaux sont connus, toutes les banques mondiales qui y sont installées sont connues. Il ne manque que la volonté politique pour interdire leur effet de nuisance.

          Ce combat, les communistes sont prêts à y participer.

 

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 21:10
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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 21:09

tract mai 2013 ste eulalie

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 20:28

emploi¨ Déclarer la guerre au chômage et combattre le projet de loi écrit par le Medef contre le code du travail

 

Le nombre de chômeurs a bondi en mars (23e  mois consécutif de hausse) pour atteindre un pic historique, avec 3,224 millions d'inscrits (+36.900 en un mois). Sont particulièrement touchés les plus de 50 ans et  les jeunes de moins de 25 ans.

          Utiliser le mot record comme le font le plus souvent les médias est indigne. Le chômage n’est pas une discipline sportive. 3 224 000  chômeurs, ce n’est pas un record, c’est un désastre national, notamment industriel. C’est un drame humain pour des centaines de milliers de familles.

 

Pétroplus ! Liquidé, Arcelor ! Liquidé, Psa ! Liquidé, Chantiers de Saint-Nazaire ! Menacé. Ça devient dramatiquement banal.

 

La boite à outils gouvernementale ne fait pas la preuve de son efficacité.

          Les communistes proposent d’arrêter ce bricolage, fait à coup de baisses du « coût du travail », d'allègements d'impôts sur les sociétés, de renforcement de la monarchie patronale à l'entreprise, de reculs de la sécurité de l'emploi pour les salariés et de casse des services publics.

          Cette politique « made in Medef »  est incapable de faire baisser le chômage. Elle encourage la croissance financière des capitaux contre l'emploi, la formation, les salaires et la croissance réelle.

          Pour sauver l’emploi et maintenir des secteurs nécessaires à l’économie du pays, d’autres leviers, proposés par les communistes, sont possibles. Citons-en quelques-uns :

       Þ La Nationalisation de secteurs clés utiles au pays,

       Þ L’interdiction des licenciements boursiers (engagement de Hollande non tenu à ce jour),

       Þ La création d’un pôle public financier pour mettre l’épargne au service de l’économie régionale et nationale et non à la spéculation,

       Þ Sans oublier le combat à mener contre l’accord dit de sécurisation de l’emploi, tout bénef pour le Medef, lequel applaudit des deux mains cette nouvelle atteinte au code du travail et aux accords d’entreprises protecteurs des droits des salariés. Le Peuple de gauche n’a pas voté pour ça.

 

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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 16:20

Carbon-blanc aura marqué la presse ces dernières semaines au travers d’une série d’articles, aux titres éloquents, parus dans Sud-ouest :

Le 30 mars  Les taux fâchent. Les alliés communistes se sont abstenus.

Le 20 avril  Abstention ? Plus de délégation

Le 25 avril  Adjoint débarqué à Carbon-Blanc

Le 26 avril  L’union de la gauche replâtrée en urgence

Le 29 avril  Les élus jouent Feydeau

Quelle est l’origine de ces péripéties : Rien ? Une tempête dans un verre d’eau ? Un coup de sang ? Le besoin de montrer son hégémonie ?  Un peu de tout cela ?

Examinons la chronologie des faits

Le 20 mars, dans le cadre de la préparation du conseil municipal du 28 mars, les communistes et leurs élus adoptent une position sur les rythmes scolaires. Ils la font connaitre par courriel à tous les acteurs locaux concernés par le sujet : élus, enseignants, parents notamment.

Cette initiative démocratique est un des motifs qui conduit le Maire à demander une rencontre aux communistes qui a lieu le jour-même en mairie. Au cours de l’entretien, le maire et la première adjointe insistent sur la nécessité de la cohésion et de la réussite de la réforme. Les communistes en conviennent mais insistent sur leur liberté d’expression. Rencontre courtoise et mesurée entre partenaires.

Le 28 mars, au conseil municipal, est présentée la délibération sur la réforme des rythmes scolaires proposant sa mise en place à la rentrée 2013. Les élus communistes suggèrent en argumentant que le report en 2014 serait une bonne chose mais leur suggestion n’est pas partagée. Ils s’abstiennent sur 2013, date qui est néanmoins voté. C’est la démocratie, qui consiste ensuite à appliquer la décision majoritaire. Jusque-là rien d’anormal. Les choses auraient pu en rester là

Sauf que le 15 Avril  le maire informe l’adjoint communiste du retrait imminent de sa délégation d’adjoint et lui confirme par courrier, reçu le 18 avril, le retrait de sa délégation et annonce un prochain conseil municipal pour statuer sur son poste d’adjoint ; il confirme ce qu’il convient d’appeler une « punition » au motif de s’être abstenu sur la mise en place des rythmes scolaires dès 2013.

Le 18 avril, l’arrêté portant retrait de délégation est certifié exécutoire après remise à la préfecture, puis notifié au « sanctionné » le 22 avril.

Le 18 avril, le conseil municipal est convoqué pour le jeudi 24 avril à 18h avec à l’ordre du jour, le retrait de la délégation et sa répercussion sur le poste  d’adjoint de l’élu communiste. Que voilà une décision rondement menée !

Le 24 avril, reçu à sa demande, celui qui est encore adjoint communiste souhaite être rétabli dans sa délégation issue de l’accord PC-PS de 2007.

Bien entendu, ces derniers jours ont conduit les communistes de Carbon-Blanc solidaires de leurs élus à suivre les évolutions et  à prendre leurs dispositions : alerter leurs amis, la fédération Pcf Gironde qui contacte la fédération du PS, etc.

Une conférence de presse du PCF 33  est envisagée pour le vendredi 26 avril 16h30 devant la mairie de Carbon-blanc.

Le 25 avril sera la journée du rétropédalage dans l’urgence. Le maire, faisant état d’interventions diverses, propose, dans l’après-midi, le maintien du poste d’adjoint avec une délégation recomposée.

Le soir du 25 avril à 18h, se tient comme prévu le conseil municipal mais avec un ordre du jour bouleversé : plus de destitution du poste d’adjoint et modification du contenu des délégations. Bien entendu, les communistes et leurs élus, restés mobilisés toute la journée, sont au courant de la nouvelle donne. Ce n’est pas le cas pour tout le monde parmi les élus et les citoyens présents dans la salle qui découvrent le nouvel ordre du jour. Ça doit faire bizarre de voter le soir, le contraire de ce qu’on avait décidé le matin. A contrario, ça doit faire plaisir de constater qu’une injustice humaine et une faute politique n’ont pu aller à terme.

Comme l’a dit Jean-Luc FLIPO, qui reste adjoint communiste, dans son intervention au conseil municipal, le bon sens l’a emporté. Mais l’intention reste avec les séquelles d’une délégation amputée.

La situation devrait néanmoins s’en trouver apaisée

Même si elle crée des frustrés parmi ceux qui voulaient « punir » les mauvais sujets de la cour d’école.

Même si elle laisse de l’amertume à « ceux qu’on voulait punir » en leur infligeant une épreuve douloureuse et injuste.

Merci à tous ceux qui nous ont soutenus et témoignés leur indignation.

Comme le dit le titre de cet article, il y a vraiment plus urgent à faire à gauche que perdre son énergie à s’en prendre aux communistes qui osent avoir un avis différent et l’exprimer.

Oui, vraiment autre chose à faire, par exemple (liste non exhaustive)

Déclarer la guerre au chômage

Rejeter et combattre le projet de loi écrit par le Medef contre le code du travail

Prendre des mesures radicales contre la fraude et l’évasion fiscale

Se lancer à l’abordage des paradis fiscaux pour récupérer l’argent volé sur notre travail et qui manque aux salaires à la protection sociale et dans le budget de l’état

Refuser de payer les dettes illégitimes aux marchés financiers.

Se préparer à défendre le budget de la commune contre la volonté de l’état de poursuivre la réduction de la dotation globale de fonctionnement des collectivités territoriales.

 

Michel Becerro - Carbon-Blanc le 29 avril 2013

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